LIVRES

Mai 2012 dans le Morvan. Alain Darnay, un agriculteur du pays, appelle les gendarmes, car en allant voir ses génisses comme tous les matins, il découvre le long du chemin, dans l'entrée d'un de ses prés, le corps sans vie de ce qui semble être une jeune randonneuse. il est donc le premier témoin. la police envoyée de Nevers sur les lieux, en la personne de la commissaire Cabessa, commence aussitôt son enquête. L'hypothèse d'un crime ne fait rapidement guère de doute. Très vite les déclarations de l'éleveur sèment le trouble...

2016 – 192 pages – 16 euros
© J2C Édition – ISBN 978-2-9554871-0-5 

Un grognard de Napoléon originaire de Savoie devenu colporteur et qui s’installe à St Denis, un Limousin qui devient officier de santé dans la Marine et part à Cayenne où il explore l’Amazonie avant un retour mouvementé à cause des suites de la Révolution, un député de l’Aube qui traverse la Révolution sans sourciller, devient bonapartiste jusqu’en 1815 où il se déclare indéfectible royaliste, un gros cultivateur normand qui devient médecin pour épouser la postière de son village au nom a rallonge et de 11 ans son aînée, mais aussi un architecte choisi par Napoléon (encore) pour transformer l’église de la Madeleine en temple à sa gloire, sans oublier un peintre, élève de Delacroix qui n’a pas peint grand-chose ou un colonel qui est décoré par la reine Victoria à la bataille de Sébastopol. Tous sont mes ancêtres. De même que d’autres simples domestiques, jardiniers, journaliers ou laboureurs quittant le Nivernais pour aller labourer dans les grandes plaines du Nord de la France. Sans oublier quelques cousins célèbres comme Raoul FOLLEREAU, Michel DROIT, François CAVANNA, Claude et Jean POPEREN, les POLIGNAC, le général BOULANGER ou le violoniste Christian FERRAS. Mes ancêtres ne sont ni meilleurs ni moins bon que les vôtres. Seulement, ils sont intéressants parce que par la diversité de leurs origines géographiques (la carte ci-dessus montre les endroits où ils vécurent) et leurs histoires singulières, ils nous permettent de revisiter la grande Histoire de notre pays et des lieux qui ont parfois bien changé. Il faut dire que j’ai eu beaucoup de chance, en vingt ans de recherches, de trouver des gens et des documents qui m’ont permis de publier ce livre et de l’illustrer abondamment. Laissez-vous emporter par leurs petites et grandes histoires. Voyagez avec eux à travers la France comme je l’ai fait pour suivre leurs pas. Il ne faut pas vivre perpétuellement le regard tourné vers le passé, mais de temps en temps, imaginer la vie de ceux qui nous ont précédés et qui font ce que nous sommes, ne peut qu’être positif et aider à appréhender le présent et l’avenir.

2016 – 28 euros
© J2C Édition – ISBN 978-2-9554871-1-2

“Hisoire d'une ferme du Morvan”

“ La plus belle ferme de la vallée”, c’est ainsi qu’on a toujours qualifié l’Orangerie, sur la commune de Lacroix-en-Morvan. Ancienne abbaye en déclin avant la Révolution, la ferme retrouvera son lustre à la fin du XIXe siècle, grâce à un riche paysan venu du Charollais. Mais pendant le siècle qui suivra, il va s’en passer des choses dans cette ferme. Lorsqu’en  2007, en creusant les fondations d’un bâtiment moderne, on découvre le squelette plutôt bien conservé d’un homme, les souvenirs refont surface, et le récit passé de la vie à l’Orangerie, dont le nom rime avec celui d’Octavie, une nourrice qui marqua à jamais ce lieu, nous entraine dans les méandres de l’histoire rurale contemporaine…

2014 – 305 pages — 19 euros
© J2C Édition – ISBN 978-2-9525466-9-0

...et autres fantaisies

Quoi ?
C’est le nouveau “Cougny”, et pas une seule vache charolaise à l’horizon, pas le moindre veau à la mamelle, pas le plus petit bout de la corne d’un vigoureux taureau ? Non.

Quoique...
En effet dans ce dixième ouvrage, l’auteur s’égare, s’égaie et nous égaie au fil de six récits dont ardeur et fantasmes amoureux sont le ressort. Le paysan-écrivain emprunte un chemin de traverse, abandonne le roman pour la nouvelle, et l’abat-foin pour les dessous de dentelle.
Humour et coquineries en tous genres, à commencer par cette “petite culotte rouge” dont le doux balancement sur le fil à linge de la voisine perturbe le travail d’un tranquille écrivain “de terroir”...

Joselyne Bernot-Perdreau

2014 – 132 pages — 12 euros
© J2C Édition – ISBN 2-9525466-9-X

“les yeux d'Irène”


Voir arriver en Morvan un jeune couple de bretons avec deux enfants pour élever des moutons, c’est de nos jours plutôt une bonne nouvelle. Sauf qu’il s’en est passé des choses, trente ans plus tôt, dans la ferme où ils s’installent...

Alors pour le paysan voisin, un vieux gars qui vit avec sa mère, les souvenirs reviennent, le passé et le présent s’entrechoquent et les yeux de son amie d’enfance hantent ses nuits…

2014 – 192 pages – 15 euros
© J2C Édition – ISBN 2-9525466-8-1

Qu’est-ce qu’un Albigeois qui sent l’ail et le soleil viendrait faire dans une petite ville en bordure du Morvan ?
Verny plus précisément, 1971. Gros bourg tranquille et prospère, sa grosse fabrique de matériel agricole, son maire Emile Chardin qui dirige aussi la dite fabrique, les fermes alentour, les bals, les mœurs qui évoluent depuis 1968, les histoires d’amour, les jalousies, les commérages, les vieilles histoires, les cachotteries, les drames, les divisions politiques, les divergences artistiques : Delon ou Belmondo ? La vie, quoi !
Avec un plus cependant : le « Bar de L’Ovalie » de la Nénette Mauffroy, cœur battant de la ville, et l’équipe de rugby, les vert et rouge. Car le rugby est la grande affaire de Verny, avec le projet diabolique de battre enfin l’équipe des riches vignerons de Tremblay, en Côte-d’Or, et de passer en troisième division nationale. Rien que ça !
Voilà pourquoi Jean-Emile Raffanel, d’Albi, 26 ans, beau garçon, buteur remarqué à Toulouse dans les lignes arrières, est engagé comme soudeur chez Chardin-Agri.
Alors, « Tremblez, gens de Tremblay ! ». Mais « Tremblez aussi, gens de Verny ! ». Car ce Raffanel n’est peut-être pas seulement celui qu’on croit...

Joselyne Bernot-Perdreau

2013 – 346 pages – 19 euros
© J2C Édition – ISBN 2-9525466-7-3

Lorsque le chemin de Louise, une parisienne un peu punk de dix-neuf ans, en vacances dans le Morvan, croise celui d’Eddy, un paysan célibataire de quarante ans, qui travaille avec ses parents, que peut-il bien se passer ? A priori rien, tant les deux mondes dans lesquels ils vivent semblent diamétralement opposés. A priori seulement, car il arrive que deux contraires s’attirent, que deux êtres que la vie ne satisfait pas et pour qui la solitude pèse, finissent par trouver de nombreuses raisons de s’entendre et en arrivent à rêver de faire un bout de chemin ensemble.
Mais c’est sans compter sur leurs familles respectives et le milieu dans lequel ils vivent, qui, recroquevillés sur des préjugés et des raisonnements d’un autre âge, feront tout pour entraver un projet pourtant bien légitime…

2011 – 272 pages — 18 euros
© J2C Édition – ISBN 2-9525466-6-6-5

« Je suis né à Nevers en 1957. Troisième enfant d’une famille de neuf, mon père était agriculteur sur une ferme d’une cinquantaine d’hectares, au lieu dit Bois-Vert, sur la commune de Magny-Cours, à dix kilomètres au sud du chef-lieu de la Nièvre. En 1975, nous avons du quitter Bois-Vert pour Poil en sud Morvan. Très vite j’abandonnais les études, embrassait le métier de paysan et devenait père de famille. Ma jeunesse se terminait donc en quittant ce pays de mon enfance. Cinquante ans plus tard, j’ai voulu raconter ce que fut cette période et les souvenirs qu’il m’en reste : ma famille, le travail à la ferme, l’école, les loisirs, la religion, la mort… Ce travail de mémoire n’a pas pour but d’être exhaustif. Je ne cherche pas non plus à montrer que “c’était mieux avant” ou au contraire que “ces temps-là étaient durs”. Ce récit est juste un témoignage de ce que furent mes dix-huit premières années… »
Jean-Charles Cougny

2010 – VENTE PRIVÉE : contacter l’auteur

 

De nos jours. Le village de Oualpay en sud Morvan somnole doucement au rythme des saisons sous le regard amusé de trois anciens qui passent leur temps à l’auberge communale « la Feuille de Vigne ». Quand soudain débarque au village, Claire, une jeune femme dont le physique est loin de laisser indifférents tous les hommes du coin.
Dans le même temps on apprend que le maire a un projet de création de décharge de produits radioactifs. Oualpay sort alors de sa léthargie et ses habitants adoptent alors des comportements étranges. La zizanie n’est pas loin…

Plus qu’un roman, cet ouvrage peut se définir comme une critique villageoise satirique. Chacun en prend pour son grade, des élus aux écolos, en passant par le gros agriculteur
la religion, le châtelain ou même l’écrivain local. Le trait est fort. C’est une caricature. Mais aucune méchanceté.

2010 – 186 pages – 15 euros
© J2C Édition – ISBN 9782952546652

En 1976, en sud-Morvan, pendant la grande sécheresse, un paysan est retrouvé mort, baignant dans son sang. Pas d’arme du crime, mais il semble avoir été tué par une balle de 22 long-rifle. Le commissaire Le Borjec et son assistant Tony Laventure se rendent sur les lieux pour enquêter. De ragots en rumeurs, ils en apprennent énormément sur la victime, mais aussi sur ses relations tendues avec son entourage. Visiblement, beaucoup de gens lui voulaient du mal…

A travers une petite enquête policière, j’ai voulu refaire vivre le sud Morvan de mes 19 ans, année de mon entrée dans le métier de paysan. Au son des chansons de l’époque, on se retrouve immergé dans cette période où après mai 68, les idées révolutionnaires étaient arrivées jusqu’au fond des campagnes, transformant parfois les élections municipales en guerre de tranchées…

Edité par L’Ecir en 2008 à 1800 exemplaires, ce livre connaitra un beau succès malgré une promo délicate due à un manque de disponibilité de livre pour l’auteur.
En 2010, L’Ecir ne voulant pas le rééditer, l’auteur réédite 300 exemplaires avec une nouvelle couverture beaucoup plus en adéquation avec l'ambiance du roman !

2008 – 230 pages – 18 euros – Réédition 2010 ©J2C Édition – ISBN 2-9525466-5-7

De 1860 à nos jours dans le centre de la Nièvre, l’histoire de Jeanne, simple domestique, amoureuse de Charles, le fils du maire du village. Naturellement pas d’union possible entre le fils d’un notable et une servante. Il lui fera deux filles en même temps qu’il épousera une petite
propriétaire, laquelle lui donnera de nombreux enfants.
Heureusement Jeanne, avec ses deux enfants naturelles trouvera un petit cordonnier qui voudra bien l’épouser et reconnaitre ses filles pour les marier…

 

En fait ce roman est l’histoire de l’ancêtre de l’auteur racontée dans son premier roman « Jeanne aimait Charles » (voir page d’accueil). Ce récit à été retravaillé, une énigme a été rajoutée, des noms changés pour en faire un vrai roman et le présenter au prix du roman de Bourgogne organisé par les éditions De Borée. Ce livre n’a pas gagné ce concours mais sera édité en 2007 par L’Ecir, filiale de De Borée (Editeur de Clermont-Ferrand spécialisé dans le terroir).

Tiré à 2000 exemplaires, ce livre sortira aussi pour 500 exemplaires au Grand Livre du Mois (Club Express). La photo de couverture est de Jean-Luc Petit et représente une cadole (cabane de vignes) de la région chalonnaise. Très beau cliché, mais sans rapport avec le lieu de l’histoire, c’est ce qu’on appelle un choix d’éditeur.

En 2009, L’Ecir ne voulant pas le rééditer, l’auteur l’a fait à 200 exemplaires avec la couverture de « Jeanne aimait Charles » inversée et le titre « Le destin de Jeanne ». Sur cette couverture on voit le père de l’auteur juché sur une remorque recevant une gerbe d’avoine tendue par son père à Magny-Cours après la guerre de 39-45. Cette photo a été prise par Jean Cougny, cousin germain du grand-père de l’auteur.
Cet réédition a été faite à chez Jouve.
Finalement, en comptant « Jeanne aimait Charles », cette histoire a été vendue à plus de 3000 exemplaires.

2007 – 224 pages — 18 euros – Réédition 2009 ©J2C Édition, ISBN9782952546638

Avril 2016. dix ans après son départ à l’autre bout du monde, Isaac revient en Morvan régler les affaires de son père Simon, écrivain décédé au début de l’année, accompagné par Angélina, une sublime brésilienne francophone. Le pays a beaucoup changé, les crises financières, le dérèglement climatique et la rareté de l’énergie semblent avoir plongé le vieux massif dans un profond sommeil. Mais très vite le passé resurgit et la belle sud-américaine pose beaucoup de questions et ne se satisfait nullement des réponses évasives de son compagnon…


Drame psychologique où je pose moi aussi beaucoup de questions sur la relation pèrefils, l’attachement au Morvan, la place des Hollandais dans ce pays, mais surtout l’effet destructeur de l’évocation du passé sur la solidité d’un couple. Tout en réfléchissant sur l’avenir de notre région. Pour la première fois, j’ai voulu sortir du milieu agricole proprement dit. Ce n’est pas un roman de terroir.

Tiré à 500 exemplaires (400 +100), ce cinquième roman est le premier sorti avec le sigle J2C éditions.

2009 – 216 pages – 16 euros
© J2C Édition – ISBN 9782952546621

En 1976, en sud-Morvan, pendant la grande sécheresse, un paysan est retrouvé mort, baignant dans son sang. Pas d’arme du crime, mais il semble avoir été tué par une balle de 22 long-rifle. Le commissaire Le Borjec et son assistant Tony Laventure se rendent sur les lieux pour enquêter. De ragots en rumeurs, ils en apprennent énormément sur la victime, mais aussi sur ses relations tendues avec son entourage. Visiblement, beaucoup de gens lui voulaient du mal…

A travers une petite enquête policière, j’ai voulu refaire vivre le sud Morvan de mes 19 ans, année de mon entrée dans le métier de paysan. Au son des chansons de l’époque, on se retrouve immergé dans cette période où après mai 68, les idées révolutionnaires étaient arrivées jusqu’au fond des campagnes, transformant parfois les élections municipales en guerre de tranchées…

Edité par L’Ecir à 1800 exemplaires, ce livre connaitra un beau succès malgré une promo délicate due à un manque de disponibilité de livre pour l’auteur.
La photo de couverture est signée Florence Lager-Barruel. Il est dommage qu’on y voit
des balles rondes qui n’existaient pas en 1976 (choix d’édition).

2008 – Première édition, épuisé. Réédité en 2010 J2C édition Epuisé

De 1860 à nos jours dans le centre de la Nièvre, l’histoire de Jeanne, simple domestique, amoureuse de Charles, le fils du maire du village. Naturellement pas d’union possible entre le fils d’un notable et une servante. Il lui fera deux filles en même temps qu’il épousera une petite
propriétaire, laquelle lui donnera de nombreux enfants.
Heureusement Jeanne, avec ses deux enfants naturelles trouvera un petit cordonnier qui voudra bien l’épouser et reconnaitre ses filles pour les marier…

En fait ce roman est l’histoire de l’ancêtre de l’auteur racontée dans son premier roman « Jeanne aimait Charles » (voir page d’accueil). Ce récit à été retravaillé, une énigme a été rajoutée, des noms changés pour en faire un vrai roman et le présenter au prix du roman de Bourgogne organisé par les éditions De Borée. Ce livre n’a pas gagné ce concours mais sera édité en 2007 par L’Ecir, filiale de De Borée (Editeur de Clermont-Ferrand spécialisé dans le terroir).

Tiré à 2000 exemplaires, ce livre sortira aussi pour 500 exemplaires au Grand Livre du Mois (Club Express). La photo de couverture est de Jean-Luc Petit et représente une cadole (cabane de vignes) de la région chalonnaise. Très beau cliché, mais sans rapport avec le lieu de l’histoire, c’est ce qu’on appelle un choix d’éditeur.

2007 – Première édition, épuisé. Réédité en 2009 J2C édition Epuisé

Un paysan se retrouve seul à la suite du décès accidentel de sa femme et de ses enfants. On lui conseil de quitter la région, de changer de vie pour fuir le passé. Faire son deuil.
Un soir en regardant les infos télévisées, il apprend que dans le sud-ouest de la France, dans une petite région, la grippe du canard a tuer tous les hommes. C’est pourquoi les journaliste ont baptisé ce coin « pays des 1000 veuves ». Il correspond alors avec une veuve de là-bas et part avec ses vaches pour refaire sa vie. Mais rien ne se passe comme prévu…
A l’époque où l’on nous prédisait des milliers de morts avec la grippe aviaire, j’ai voulu laisser libre cours à mon imagination et à mes fantasmes pour cette quête de la femme idéale.
J2C

Tiré à 400 exemplaires et vendu à 250, ce livre est un relatif échec. Sa couverture comme la mise en page ont été faits en collaboration avec Mary Dublé. Comme, il s’agissait d’une fiction, nous avons voulu traiter pour faire la couverture, une photo d’une ferme (prise par l’auteur en Aveyron) traitée avec « Photoshop » et des couleurs volontairement choquante. Les lecteurs n’ont pas apprécié.
Ce livre participa au Grand Prix littéraire du Morvan 2008... mais il avait l’inconvénient de se situer hors Morvan.

2006 – 162 pages – 12 euros
© J2C Édition – ISBN 2-9525466-1-4

C’est l’histoire de Marco, un paysan qui élève des vaches charolaises avec sa femme Hélène et son fils Damien. Ce dernier est sur le point de s’installer en reprenant la petite ferme voisine.
Sauf qu’au dernier moment, celle-ci est accaparée par la grosse exploitation voisine. Du coup, Damien quitte la ferme pour reprendre son travail à la ville. Marco se retrouve seul avec sa femme sur l’exploitation. C’est le début d’un longue descente aux enfers…
A travers cette histoire, j’ai voulu montrer la conséquences catastrophiques des comportements individuels égoïstes dans le monde agricole qui ont remplacé la solidarité traditionnelle du monde paysan...


La mise en page de ce livre a été effectué par une amie de l’Yonne, Mary Dublé.
La photo de couverture a été prise par l’auteur. Il s’agit de la rivière le Ternin à la sortie de Lucenay-l’Evêque (71).

Tiré à 700 exemplaires, imprimé chez JOUVE(11Bd Sébastopol à Paris
75001), le livre a dépasser les 550 ventes. Encore disponible.

2005 – 210 pages – 15 euros
© J2C Édition – ISBN: 2-9525466-0-6

DIFFUSION & DISTRIBUTION

Avant-propos

– Les livres dont je ne suis pas l’éditeur peuvent être distribués dans tous les points de vente qui travaillent avec mon éditeur : librairies, supermarchés, sites internet.

– Les livres que j’édite personnellement (J2C éditions) ne sont vendus que dans les librairies, maisons de la presse ou par correspondance (me contacter). C’est un choix délibéré de ma part, parce que j’estime que le livre est un bien culturel et non une botte de poireaux. De plus, étant paysan, je sais qu’une grande partie du prix désespérément bas de nos produits agricoles, est dû au monopole acquis par les supermarchés, pour la vente de biens alimentaires avec la disparition des petits bouchers ; je pense qu’il faut se battre pour que vivent les “petites” librairies, les indépendants, avec qui nous pouvons travailler dans des conditions de respect mutuel et de confiance réciproque. A ce jour ce combat est perdu.Plus de la moitié des libraires ou maisons de la presse avec qui je travaillais il y a dix ans, ont fermé. Cela a aussi contribué à la décision que j’ai prise d’arrêter d’écrire des livres.

Vous pouvez me commander les livres par internet ou courrier (voir coordonnées dans l’onglet”contact”), en ajoutant 2€ au prix du livre(le port me coûte presque 5€) et envoyer un chèque à mon adresse postale. Vous recevrez le livre dans la semaine.

Jean-Charles COUGNY

Avis aux libraires

Il m’est arrivé de travailler avec d’autres librairies que ceux qui sont indiqués sur mon site. Je suis prêt à travailler avec toutes les librairies ou maisons de la presse qui me contactent. Mes tarifs vont de 30% de remise pour les dépôts à 50% en cas d’achat ferme par plus de 10 exemplaires. La seule chose à signaler, c’est qu’au cas où une librairie me demanderait à travailler avec moi alors que j’ai déjà un point de vente dans la même ville, je réserverai les séances de dédicaces à celle qui a l’antériorité. De même en cas de manifestation (marché de Noël, fête du livre, etc.) je vendrai les livres pour le premier libraire qui m’a accueilli.

Avis aux lecteurs

Je signale aux lecteurs qu’ils peuvent toujours demander à leur libraire habituel un de mes livres. Si celui-ci ne travaille pas avec moi, cela peut-être le début d’une collaboration. Attention: j’ai bien dit “libraire ou maison de la presse !”

Et Internet ?

Certains de mes livres peuvent se trouver sur internet. Pour ce qui est des livres d’occasion, ce n’est pas mon problème.
Pour ce qui est des livres neufs distribués par Amazon.fr ou Priceminister, sachez que la vente par ce biais ne me rapporte pratiquement rien. Ces “grosses” entreprises vous offrent des remises ou les frais de port, mais nous devons nous leur ou vous envoyer les livres en leur laissant une marge énorme.
Vous pouvez leur acheter mes livres mais en sachant que cela ne rapporte qu’à eux.

Où trouver mes livres ?

COTE d’OR (21)

• Saulieu : Maison de la presse, 1 place du Marché, 21120 Saulieu
Librairie Grangier: 14, rue du Chateau 21000 Dijon

NIEVRE (58)

• Cercy-la-Tour : Maison de la Presse, 73 av. Louis Coudant, 58340 Cercy-la-Tour
• Château-Chinon : librairie Didier, 12 Boulevard de la République, 58120 Ch-Chinon
• Clamecy : Le Millefeuille, 20,22 rue du Grand Marché, 58500 Clamecy
• Decize : Maison de la presse, 28 rue de la République 58300 Decize
• Lormes : Maison de la presse, 13 place F. Mitterrand, 58140 Lormes
• Luzy : Jos’Syl, tabac-journaux-16 rue Victor Hugo 58170 Luzy

Tannay: Maison de la Presse (M et mme Gauffroy): 21 rue Georges Sirdey
• La Charité-sur-Loire : Sonate d’Auteur, 39 grande Rue, 58400 La Charité/ Loire
• Moulins-Engilbert : Le Coin Presse, 10 place Boucaumont, 58290 Moulins-E
• Nevers : Librairie le Cyprès, 17 rue Pont-Cizeau, 58000 Nevers
Mitterand, 58000 Nevers
• Nevers : Maison de la Presse, 5 place Maurice Ravel, 58000 Nevers
• St-Pierre-le-Moûtier : Maison de la Presse, 22 rue de Paris,
58240 St-Pierre-le-Moûtier

SAÔNE et LOIRE (71)

Vival Epicerie. A.Bonnet: Place du champ de Foire 71160 Issy l’Evêque
• Le Creusot : Plein Ciel, 9, 11 rue Maréchal Leclerc, 71200 Le Creusot
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